Ahmed ben Sarah – Désormais, c’est officiel !

10/01/2016

Les données officielles publiées la semaine dernière par l’institut national des statistiques ont donné corps à « Ahmed ben Sarah », le slogan maintenant bien connu de l’organisme Yad Lea’him.

Les chiffres ne citent pas moins de 45 enfants juifs nés l’année passée de mère juive et de père arabe et portant le nom de Mouhmad, 11 autres ayant été nommés Ahmed, et 6, Abed… Une longue liste répertorie également les petites filles portant des prénoms arabes.

Yad Lea’him n’est pas surpris des chiffres recensés par l’institut car ils ne représentent que la partie immergée d’un phénomène effrayant. Il existe également d’autres centaines d’enfants juifs portant des noms arabes mais déclarés en tant que musulmans. Ils sont nés de femmes juives converties à l’islam au cours des dernières années et ont été enregistrés par leur mère comme musulmans auprès du Ministère de l’Intérieur.

L’organisme avertit qu’il s’agit ici d’une piqûre de rappel pour qui aurait quelque peu relâché sa vigilance. « Il existe des femmes qui se convertissent à l’islam et qui élèvent leurs enfants, juifs nonobstant, comme des musulmans, il y a également les activités de la mission. Nous faisons appel au public pour qu’il se joigne à Yad Lea’him dans sa lutte en vue de repousser l’assimilation et pour préserver l’identité du peuple juif « .

Dans le même temps, l’organisme se penche sur l’entourage direct des jeunes filles qui sont en relation avec des arabes : « La plupart du temps, elles refusent d’entendre. Malgré tout, les paroles restent et font peu à peu leur chemin dans les consciences… Ne vous découragez pas et aidez ces jeunes filles à comprendre que les conséquences de leurs actes inconsidérés d’aujourd’hui s’annoncent désastreuses à l’avenir ».

L’organisme tient également à souligner que le sauvetage d’une femme juive et de ses enfants ne représente que le début du processus. Ensuite, ils auront besoin d’une maison sûre, d’argent pour vivre, de l’intervention d’une assistante sociale, d’une aide psychologique, des services d’un avocat qui défendra les droits des enfants auprès des tribunaux pour qu’ils puissent rester sous la garde de leur mère. « Tout ceci », conclut le porte- parole, « implique des investissements financiers très élevés ».

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