Des femmes sauvées de la captivité ont participé à des réunions de préparation à Pessah.

En préparation de Pessah, comme chaque veille de fête, le Département de lutte contre l’assimilation de Yad Lea’him s’efforce de préparer les femmes héroïques sauvées de captivité et qui ont commencé une nouvelle vie.

Cette semaine, un premier événement a eu lieu à Beer Sheva pour des dizaines de femmes de la région sud, dans le cadre d’une série de rencontres supplémentaires qui se poursuivront la semaine prochaine dans tout le pays. Nombre de participants n’avaient pas célébré Pessah depuis des années en raison de l’isolement total qu’elles subissaient dans les villages arabes, et elles ont été heureuses de recevoir des enseignements sur l’histoire de la fête, ses lois et sa signification.

Les dames ont profité d’un somptueux dîner, ont participé à un atelier spécial de fabrication de coussins pour s’accouder le soir du Seder et ont appris les lois de la fête présentées par le rabbin Yona Nussbacher. La conférencière, la rabbanit Orit Solomon, a parlé de la fête de Pessah et de sa signification pour chaque personne, dans chaque génération.

À la fin, chaque participant a reçu un livret unique publié par Yad Lea’him, détaillant toutes les lois de la fête et ses préparatifs de manière claire et concise, une boîte de matsot faite maison, ainsi qu’une Haggadah de Pessah et des histoires pour les enfants.

Les réponses chaleureuses ne se font pas attendre. « Chère Famille Yad Lea’him – merci ! Je suis à chaque fois surprise. Chaque rencontre est formidable et meilleure que la précédente. Nous avons beaucoup appris sur la liberté personnelle et sur le sens de la vie », a écrit l’une des jeunes filles.

Une autre héroïne a écrit : « La chaleur et le lien avec les autres filles nous permettent d’exister, de nous connecter, de nous fortifier, de nous donner de l’énergie et de nous ressourcer tant physiquement que mentalement. » Une troisième participante n’a pas caché ses sentiments et a formulé le message suivant à l’assistante sociale qui l’accompagnait : « Merci, merci, merci ! Je remercie Dieu de faire partie de cette famille formidable. La fête de Pessah qui approche sera différente des précédentes. J’étais alors dans mon « Égypte », et aujourd’hui, je suis une Juive libre de servir Dieu. »