Les femmes juives délivrées de villages arabes ont passé les fêtes avec les familles d’accueil de Yad Lea’him

05/11/2016
Le Rav Moshe Cohen de Yad Lea’him sonne du Chofar aux enfants des rescapées lors du séminaire organisé par l’organisme

Le projet de familles accompagnatrices de Yad Lea’him a été fondé il y a plusieurs années pour les femmes délivrées de villages arabes, dans un cadre familial de soutien par des dizaines de familles des quatre coins du pays qui servent d’appui aux rescapées et à leurs enfants pour les aider à réapprendre la structure normative de la famille, tout au long de l’année et en particulier les Chabatot et les fêtes.

Dans le cadre de ce projet spécial, cette année aussi les familles ont accueilli les filles et femmes qui font partie du projet dans l’objectif de leur faire partager l’atmosphère de fête particulière et unique. Malki Tsour, qui participe au projet avec sa famille et a transformé son foyer en « famille d’accueil » nous fait partager son expérience : « Impossible de dire que nous n’avons pas hésité à rejoindre le projet. Cependant, après une courte période, une très bonne chimie s’est créée entre nous ».

Sarah (nom d’emprunt), une femme juive qui était mariée à un arabe pendant plusieurs années, est entrée dans le projet à Hanouka de l’année dernière et a fait la connaissance de Malki et de la famille Tsour. « Malki est une femme extraordinaire, je dis toujours qu’elle a été la lumière allumée pour moi pendant Hanouka », raconte Sarah, « elle est pour moi une vraie maman. Elle m’aide et se soucie de moi. Ma fille aime beaucoup aller chez elle et jouer avec ses enfants. Nous sommes chez eux pour les fêtes, les Chabatot, certains jours de de semaine et lors d’événements spéciaux. Je me suis trouvé une nouvelle famille, et elle est formidable », conclut-elle.

Yad Lea’him explique que le lien entre les familles accompagnatrices et les filles ne se fait pas comme cela. « Ils prennent le soin de créer une connexion entre la famille et la jeune femme, par exemple, faire en sorte que les enfants aient le même âge, avoir des passe-temps en commun, pour produire une connexion initiale et faciliter le début du processus. Le but est de briser la solitude de la rescapée qui a vécu des années complexes et difficiles et de créer un cadre juif de soutien pour montrer l’exemple d’une famille normative construite sur des fondements juifs profondément ancrés.

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