Un policier demande à Yad Lea’him de sauver une mère juive et ses enfants

30/05/2017
Un homme du département de sécurité de Yad Lea’him lors du sauvetage d’une femme juive d’un village arabe

L’histoire émouvante d’A. a débuté il y a deux ans. Une plainte préoccupante a été déposée dans un poste de police du nord du pays par une femme juive contre son mari arabe pour violences conjugales aggravées. Le policier, un homme sensible qui a été ému par la situation de cette maman apeurée a décidé de se tourner vers Yad Lea’him et de transmettre ses coordonnées pour que nous puissions aider cette femme meurtrie, dans le cas où elle déciderait de quitter la maison de son mari, dans le village arabe où ils résidaient.

A., qui avait du mal à accorder sa confiance aux étrangers et craignait la réaction de son mari a repoussé les membres de l’organisme plusieurs fois. La terreur qu’il lui inspirait l’a conduite à annuler la plainte qu’elle avait déposée auprès de la police. Cependant, le lien ténu peu à peu tissé avec Yad Lea’him ne s’est pas brisé.

Lorsqu’elle a réalisé que leurs intentions étaient pures et qu’ils pourraient effectivement l’aider, elle a commencé à s’entretenir régulièrement avec une assistante sociale de Yad Lea’him. Elle s’absentait de la maison sous prétexte de papiers à régler et toutes deux se rencontraient au Bitoua’h Léoumi du quartier, sous la surveillance spéciale du département de sécurité de l’organisme.

Après une période assez longue, A. a compris que Yad Lea’him pouvait la délivrer de sa détresse et l’aider à trouver un appartement sécurisé, pour elle et ses six enfants, l’accompagner au niveau psychologique et juridique et même se soucier de sa subsistance.

Un beau jour, A. a réalisé qu’elle était enfin prête à s’enfuir et à commencer une nouvelle vie, à retourner vers son peuple et sa terre natale. Un sauvetage audacieux a pris forme très rapidement avec l’aide du Ciel et A. et ses enfants ont été relogés dans un appartement secret de l’organisme.

Il y a deux semaines, alors que le peuple d’Israël célébrait Lag BaOmer, A. et ses enfants ont eux aussi assisté aux feux de joie traditionnels avec l’assistante sociale qui suit la famille et avec les tuteurs des enfants qui les accompagnent pas à pas dans leur nouvelle vie.

Dans le contexte de ces célébrations festives, A. vivait la fin d’une période sombre et terrifiante et l’aube d’une vie nouvelle pour elle et ses enfants.

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